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Centre de documentation sur la formation et le travailPORTAIL DOCUMENTAIRE
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Portrait statistique des principales conventions collectives de branche en 2015.

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N° spécial revue
H
BOUDJEMAA Florent
Dares résultats [en ligne], n° 10, mars 2018 | 12 p.

Thème : Droit formation-travail
Mots-clés : Convention collective, Accord branche, Branche activité économique, Salaire, Statistique

Url :
http://dares.travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/2018-010.pdf
Annexes : tableaux, graphiques

Résumé : Fin 2015, 15,5 millions de salariés sont couverts par 717 conventions collectives de branche (hors branches agricoles), lesquelles sont regroupées en 464 conventions collectives agrégées. La taille de ces branches est très variable : 14 % des conventions agrégées (soit 65 conventions agrégées) concentrent 74 % de salariés et 20 % couvrent moins de 0,2 % de salariés. Les caractéristiques des salariés et des emplois, relativement stables d'une année sur l'autre au sein des branches, varient fortement entre les branches. Ces différences s'expliquent par la diversité des métiers exercés. Au sein des branches couvrant 50 000 salariés ou plus, la part des femmes varie de 2 % à 94 % et la proportion de salariés de moins de 30 ans de 3 % à 64 %. Les taux de CDD et de temps partiel s'échelonnent quant à eux respectivement de 1 % à 17 % et de 4 % à 81 %. Dans l'ensemble des conventions collectives de branche, le salaire net moyen d'un équivalent temps plein (EQTP) est de 2 270 euros par mois en 2015. Les écarts salariaux entre branches sont à rapprocher des différences de profils des salariés. À catégorie socioprofessionnelle donnée, les écarts de salaire moyen par branche restent toutefois marqués, en particulier pour les cadres. Le salaire net mensuel d'une femme en EQTP est en moyenne inférieur de 19 % à celui d'un homme. En 2015, année précédant les premiers effets de la restructuration des branches, cet écart diminue dans un peu plus de 3/4 des branches de 50 000 salariés ou plus, mais il reste supérieur à 25 % dans huit branches. L'écart salarial femmes-hommes est le plus élevé chez les cadres (20 %) et le plus faible chez les employés (7 %). [résumé revue]

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